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    Compte rendu de l'ouvrage de Delphina Fabbrini, Il migliore dei mondi possibili: Gli epigrammi ecfrastici di Marziale per amici e protettori. Studi e testi, 26. Firenze: UniversitĂ  degli Studi di Firenze. Dipartimento di Scienze dell'AntichitĂ  "Giorgio Pasquali", 2007

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    Compte rendu de l'ouvrage de Delphina Fabbrini, Il migliore dei mondi possibili: Gli epigrammi ecfrastici di Marziale per amici e protettori. Studi e testi, 26. Firenze: UniversitĂ  degli Studi di Firenze. Dipartimento di Scienze dell'AntichitĂ  "Giorgio Pasquali", 2007

    Sur l'authenticité de cinq épigrammes grecques de la collection Erizzo

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    International audienceDans cet article, on propose de reconstituer la collection épigraphique de l'humaniste vénitien Sebastiano Erizzo. En croisant la lecture des recueils de Spon, des œuvres du botaniste Wheeler et celle des volumes d'antiquités de Ligorio, on s'aperçoit que le «musée épigraphique» du palais Erizzo comportait cinq inscriptions qui reproduisaient le texte de cinq épigrammes descriptives également connues grâce aux manuscrits médiévaux : une épigramme anonyme sur le chien qui orne le tombeau de Diogène (AP VII, 64), une épigramme de Tullius Géminus sur un Héraclès de Lysippe (APl, 102), une épigramme anonyme sur une triple image d'Héraclès (APl, 103), une épigramme de Théocrite sur le portrait d'Anacréon (AP IX, 599), une épigramme sur la statue d'Oppien d'Anazarbe (épigramme tirée de la Vita Oppiani). Les descriptions que Spon et Ligorio avaient données de ces inscriptions ont été reproduites, de manière disparate, dans les corpus épigraphiques des XIXe et XXe siècles ; ces différentes inscriptions sont généralement considérées comme étant des pièces authentiques, réalisées pour le compte de collectionneurs de l'époque romaine. Pourtant, un examen des leçons reproduites par Spon permet de s'apercevoir que ces cinq pierres sont en réalité des falsifications modernes, réalisées par une officine de faussaires vénitiens. L'épigramme de Théocrite a été copiée d'après le Parisinus Graecus 2721, manuscrit qui fut vraisemblablement réalisé à Venise dans le troisième quart du XVe siècle. L'épigramme sur le chien de Diogène a quant à elle été copiée d'après l'une des deux éditions de l'Anthologie de Planude qui parurent à Venise en 1550

    Une histoire des styles en Ă©pigrammes: Essai de confrontation entre Posidippe et Dioscoride

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    Ce document est la première version d'un article destiné aux actes du colloque international L'Épigramme dans tous ses états (Lyon, 3-4 juin 2010). Ces actes seront publiés par L. Foschia et E. Santin aux Presses de l'ENS Lyon.Cet article propose une confrontation entre les épigrammes sur les bronziers (andriantopoiika) de Posidippe de Pella (62-70 A.-B.) et les épigrammes sur les dramaturges de Dioscoride (20-24 G.-P.). Ces deux ensembles de textes se structurent sous la forme de l'histoire d'une ou de plusieurs τέχνη / τέχναι et s'articulent autour de l'idée d'un antagonisme entre les styles des bronziers ou dramaturges successifs. Cette histoire des arts est à chaque fois marquée par la volonté d'observer les styles dans une perspective historique, mais aussi en synchronie avec une dimension polémique puisqu'il s'agit certainement de disqualifier certaines œuvres ou positions esthétiques. On constate aussi que, dans les deux cas, le discours sur le style prend appui sur la représentation, dans l'épigramme, d'une œuvre statuaire, que celle-ci soit réelle ou imaginaire. Aussi bien chez Posidippe que chez Dioscoride, il s'agit de traduire sous la forme d'une image figurée le caractère stylistique d'un auteur donné: Philitas, Sophocle ou encore Sosithéos

    Compte rendu de Sabine Müller, Das hellenistische Königspaar in der medialen Repräsentation: Ptolemaios II. und Arsinoe II. Beiträge zur Altertumskunde Bd. 263.   Berlin/New York:  Walter de Gruyter, 2009

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    Article accessible en ligne http://bmcr.brynmawr.edu/Compte rendu de l'ouvrage de Sabine de Müller qui porte sur les sources littéraires et iconographiques éclairant les stratégies matrimoniales des premiers Ptolémées

    Lycophron et les errances d'Énée: Mythes « locaux », érudition ethnographique et poétique des griphes

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    This paper attempts to shed light on the erudite traditions used by Lycophron while describing Aeneas' wanderings in Etruria and Latium (Alexandra, 1230-1258) : which traditions does Lycophron expect his readers to know ? How does he understands the ethnography of Italy and the origins of the Etruscan and Roman peoples ? How far is he concerned with involving in his account « local » traditions and myths that would seem to require a considerable erudition on the part of his readers ? Some of the allusions to recondite mythological traditions dealing with the archaeology of Italian peoples and the foundation of Rome have probably been designed to present Rome as the resulting of a reconciliation / suggeneia between Europe and Asia. Lycophron's account of Aeneas' and Odysseus' wanderings involves references to different (or even contradictory) versions of foundation myths concerning Rome and Cortona. Certain details should encourage us to question the very notion of « local myths ». As a matter of fact, these « local » myths probably entered Lycophron's poem through the intermediary of historiographical sources well known to the Hellenistic scholars and poets, such as the works of Theopompus, Lycus or Timaeus. But Lycophron used these sources in a very specific way and composed a patchwork using different traditions in order to formulate his conception of world history as a story of war and reconciliation between Europe and Asia.Cet article s'intéresse à l'érudition à laquelle Lycophron fait appel dans les vers 1230 à 1258 de l'Alexandra (excursus concernant la geste d'Énée en Étrurie et dans le Latium) : quels sont les traditions que Lycophron suppose connues de son lecteur ? Comment représente-t-il l'ethnographie de l'Italie et les origines des Étrusques et des Romains ? Quel poids accorde-t-il à des mythes « locaux » qui semblent présupposer une érudition considérable de la part de ses lecteurs ? Au-delà des énigmes et cryptages chers à Lycophron, les références à des éléments plus ou moins obscurs des traditions mythologiques relatives à l'Italie et à la fondation de Rome sont souvent guidées par la volonté de présenter cette ville comme étant à la fois le produit et l'agent d'une forme de réconciliation entre Europe et Asie. L'ensemble du passage relatif aux errances d'Énée et d'Ulysse multiplie les allusions à des versions différentes et parfois concurrentes de la légende des origines : parmi les notices rassemblées par Lycophron, certaines doivent probablement nous amener à remettre en cause la notion même de « mythe local ». Comme nous le verrons dans plusieurs cas, les versions dites locales de certains mythes sont probablement entrées dans le texte de Lycophron par l'intermédiaire de notices conservées par des historiens grecs : à partir de ces éléments, le poète semble ensuite s'être livré à un jeu de recomposition des traditions qui permettait de concilier différentes versions et qui visait peut-être à étayer le discours que Lycophron souhaitait tenir sur une histoire universelle perçue comme une histoire des conflits entre Europe et Asie débouchant sur une forme de reconciliation ou d'apaisement en partie rendu possible par le peuple romain

    Les « Poèmes sur les bronziers » de Posidippe de Pella : traduction française et réflexions autour de cinq articles récents

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    Les articles et chapitres d’ouvrages présentés ici concernent un cycle de poèmes attribués au poète Posidippe de Pella, actif dans le deuxième quart du iiie siècle avant J.-C., qui fréquentait la cour de Ptolémée II Philadelphe et dont une partie de l’œuvre vient d’être restituée par la découverte d’un papyrus actuellement conservé à Milan. Cette nouvelle découverte offre un intérêt tout particulier pour les spécialistes de l’histoire du regard et de l’histoire de l’histoire de l’art, car le ..

    Antiphile de Byzance

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    Peinture

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